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YAOI HARD FIC <3

En l'honneur de nos "dangereux criminels" adorés:
Tobi: ((o)))
Konan: ( / ^ - ^ \ *)
Pein: -:_:-
Itachi: -/_\-
Kisame: =^w^=
Deidara: ^_v
Sasori: u_u
Zetsu: o_^
Hidan: <w<
Kakuzu: $_$

Si toi aussi tu aimes l'Akatsuki et que tu veux les aider à conquérir le monde, copie-colle ce message sur ta description de blog ! ;D

http://culture-otaku.over-blog.com/article-streaming---anime---abenobashi---episode-03---vf-78007699.html
Cet épisode de Abenobashi est à voir absolument!!! il est trop trop marrant!!!

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Le journal intime de Envy

LE JOURNAL INTIME DE ENVY
Le journal intime de Envy
 
        Mon nom est Envy, tout simplement Envy. Je suis un homonculus, être vivant artificiel, copie de celui créé par Izumi Curtis, aussi connue sous le surnom de la femme au foyer désireuse d'avoir un enfant, qui se fit retirer ses organes internes par la porte de la vérité, en échange de sa vie. Comme l'explique le principe fondamental de l'Alchimie, l'échange équivalent, il faut donner pour recevoir. Ainsi donc, je n'ai pas de nom de nom propre car je n'appartiens à aucunes catégories, aucunes classifications de ce monde.
 
Je ne viens de nulle part.
 
          Je ne suis qu'une ombre égarée entre 3 mondes: la vie, la porte de la vérité, et la mort. Pourtant, tu as sû me comprendre, donner un sens à ma vie. Mais ce qui doit arriver doit arriver, mon amour, ce qui est écrit ne peut être changé. Est-ce que tu te souviens de cette phrase que tu m'as apprise? *ricanement* Mais que je suis bête, les humains ont la mémoire tellement courte...  C'est pour ça que j'écris ce journal sensé être ce que vous créatures inférieures, appellez journal intime, pour pouvoir exprimer tout ce que je n'ai pas sû te dire.



















Je me souviens encore, comme si c'était hier, de notre première rencontre: Un hiver très enneigé, vers la tombée de la nuit.

 Toi et cette saleté d'Edward Enric, cette sale gamine de May Chang et toute votre clique allaient débarquer. Et naturellement, pour moi, je vous avais réservé et je me faisais par ailleurs une joie de vous accueuillir. Il y allait enfin avoir un peu d'animation dans ce stupide monde d'humain. Et enfin, je vous vis arriver. Nous commençâmes avec hardeur la bataille, dans laquelle je me donnais à coeur joie de participer. Je ne savais pas ce pourquoi vous étiez venus ni ce que vous étiez venus chercher. Mais je m'en moquais éperdument. J'étais tout simplement heureux. J'étais utile, je servais enfin à quelque chose. Je me divertissais, me démenais comme un fou *ricanement* Comme un fou? non, je SUIS fou...fou fou et fou!!! Oui, tout comme je suis fou de toi, mon ange, fou, fou, fou de toi. Oui j'ai été fou de toi dès le départ. C'est surement ce que les humains appellent le coup de foudre. J'ai été ébloui par toi. Je ne voyais plus que toi, toi et toi seul. Il faisait un froid de canard ce jour là (d'après ce que disent les humains, car en tant qu'homonculus, je ne ressens pas le froid). Mais ton corps était un véritable brasier. A tel point que même moi qui ne ressens pas les changements climatiques, ressentis cette chaleur émanant de toi jusque dans le plus petit de mes os. Je me souviens intégralement de ton apparence dans mon premier souvenir:
Le journal intime de Envy

       Ton corps sculptural à l'air libre, ton teint ivoire, ton expression de détermination, la noirceur de tes cheveux et de tes yeux. Et tes yeux huuum... ce que j'y ai lu: du courage mais surtout... de la haine. Cette même haine qui me ronge depuis si longtemps. Tu m'as directement plu. Tu me ressembles même si tu as refusé de l'admettre, tu étais mon miroir. Et c'est depuis ce jour que je t'aimé et que je t'aime. Je me souviens encore de cette présentation hargneuse:
"Je me nomme Roy Mustang et je suis Lieutenant de l'état Major. Tu vas payer pour tes crimes!!!" huuum cette hargne, tout ce que j'aime chez toi!

           Et, instinctivement, j'ai voulu te posséder, te faire mien. Tu n'avais rien de ces stupides humains Roy, tu étais la plus belle créature que je n'avais jamais vue. Je te voulais pour moi et moi tout seul, mon amour. Je voulais que tu sois mon étincelle, la flamme de ma vie. Je te désirais pour moi et moi seul Roy... et j'étais prêt à tout pour y arriver.
 
   Puis j'ai vu cette femme derrière toi. Ce regard qu'elle te lançait: j'y voyais de l'inquiétude, de la passion mais pire encore... de l'amour. Elle n'avait pas ce droit mon amour, une créature aussi inférieure ne pouvait pas se permettre de t'aimer. Tu m'appartenais, tu m'appartiens et tu m'appartiendra. Je ne laisserai personne se mettre en travers de mon chemin, de notre chemin. Oui, le notre, celui que j'aurai vite fait bien fait de tracer pour moi, pour nous. Alors je décida de commencer par les mauvaises qui pourraient nous couper l'herbe sous les pieds. Il y avait cette femme: blonde aux yeux marrons, avec des courbes qui auraient certainement charmé bon nom nombre de ces stupides êtres humains, celle qui disait se nommer Riza Hawkeye et se prétendait sous lieutenant et être ton bras droit.
Le journal intime de Envy
Il le fallait, pour nous, je devais la tuer.
 
      Je parvins alors jusqu'à elle et faillis la transpercer lorsque soudain, tu fis ton apparition, retins mon bras, te positionna entre nous et me repoussa violemment. Ce que je vis dans tes yeux me dégouta: tu l'aimais Roy, mais tu n'en avais pas le droit. Pas le droit... Accablé par ton intervention, je décidai de m'en aller. Vous étiez décidés à en découdre, toi cette bande d'incapables certes, mais rien ni personne ne pourrait retenir le Grand Envy. Je m'éclipsai alors dans la nuit noire. Mais même de loin, je t'apercevais encore tant tes flammes étaient puissantes, telle une étincelle d'espoir dans ce monde macabre. Tu étais si...si...comment dire, éblouissant. Je ne pus m'empêcher de sourire et d'éclater d'un rire maléfique dans le silence pesant de la nuit. Je t'aurai mon ange...que tu le veuilles ou non.
 
Je rentrai alors à notre repaire qui d'ailleurs me semblait vide depuis la mort de Lust...(idolatrée par Gluttony)
Le journal intime de Envy
et de Wrath, mon petit frère...
Le journal intime de Envy
 
ah... mon petit Wrath adoré, mon adorable naïf petit frère. Toi que j'appréciais tellement embêter. Un flot d'anciens souvenirs me revinrent alors en mémoire. Tu me manques tu sais, je m'ennuie tellement depuis que tu es parti.
Le journal intime de Envy      Parti car c'est vrai que pour nous autres homonculus, la mort est une chose insignifiante. Il n'existe pas "d'autre monde" et encore de "paradis" ou "enfer". Après tout, nous n'appartenons à aucun monde. Quand bien même on mourrait, il n'y aurait personne pour nous pleurer, encore moins nous regretter, nous serions totalements oubliés. Mais bon, le monde est ainsi fait.
Le journal intime de Envy
 Je sombrais tranquillement dans mes pensées lorsque cet idiot de Gluttony vint me déranger. Je me souviens encore de cette frustration que j'avais éprouvé. Je me mis dans une fureur soudaine.
-QUOIIIIII?!, hurlai-je
 
   -J'ai faim moiiii... me répondit cet imbécile de Gluttony.
 
Ce n'était pas vrai. Sur le coup je me demanda même s'il ne foutait pas de ma gueule. Mais évidemment que non. J'avais oublié qu'il était un imbécile heureux d'estomac sur patte doublé d'un incapable.
 
   -Mais tu te fous de ma gueule?! T'as d'jà engloutit 18 soldats aujourd'hui!!!" répondis-je exaspéré.
 
    -Mais j'ai encore faim moi...Ce n'est pas de ma faute si j'ai l'estomac robuste moi! 
 
    -Robuste mon oeil!! Bouffe-tout va!!!, et je me retourna.
 
Je m'étais remis à penser à Roy, occupant toutes mes pensées les plus malsaines....Ah vous savez que...?!
 
-NAN MAIS JE REVE?! Qu'est-ce que tu fous encore là?!
 
    et cette tête vide voulu encore se justifier:
 
"Mais c'est que..." mais ce fut trop.
 
     Devant me retenir pour ne pas lui exploser la tête, je m'époumonai:
 
   -DEGAAAAAAAAAAAAGE! ET TOUT DE SUIIIIIIIIIIIIIIIIIIITE! TU VEUX BOUFFER TOUS LES HUMAINS DE CETTE TERRE OU QUOI?!? VA DONC BOUFFER CE QUE TU VEUX TANT QUE TU ME FOUS LA PAIX!! TU AS L'AUTORISATION DE BOUFFER UNE REGIMENT TOUT ENTIER!! ET MAINTENANT VA DONC TE FAIRE F*****!!!
   -C'est quoi se faire f*****??? ça se mange?, me demanda Gluttony, l'index et le majeur de sa main gauche à la bouche.
 
Cela eut raison du peu de sang froid qui me restait, et dans mon excès de fureur, je soulevai Gluttony et le flanquai à la porte en le smashant comme on expédie un ballon de basket dans un panier:
 
   -MAIS C'EST PAS POSSIBLE D'ETRE AUSSI CON! J'aiiii diiiiiit DEGAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAGE!!!
 
Et Gluttony qui tremblait devant moi à chaque fois qu'il me voyait dans cet état, partit en courant du mieux qu'il pouvait dans l'épaisseur de la neige. Et je claquai la porte et m'assis sur le débris qui nous servait de canapé.
 
-Ah enfin seul..., murmurai-je calmé

  *pouffant* Qu'est-ce qu'il m'avait énervé ce jour là. Je pus enfin me concentrer sur mon devoir d'analyse détaillée urgent sur le spécimen de Roy Mustang (et j'ai bien dit analyse pas perversion).
     Etant donné que le sommeil est une chose qui m'est totalement inconnue, je pensa à toi toute la nuit et toute la journée qui suivit. Et la nuit même, je décida de passer à l'action.
 
    Je traversa la forêt de nouveau en courant puis je m'introduisis dans l'enceinte militaire du château dans lequel j'avais deviné que tu devais séjourner. Je tuai alors un des gardes afin qu'il ne me fasse pas repérer et de m'emparer de quelques uns de ses objets, à savoir des clés. Je ne savais pas pourquoi je les avais pris mais je m'étais dit qu'elles pourraient servir. M'aventurant dans les couloirs du château, je cherchai derrière laquelle de ces nombreuses portes tu aurais pu te trouver: c'est que je ne devais surtout pas me faire remarquer. Et soudain, je la ressentis jusque dans mes entrailles. Cette chaleur, ta chaleur.
  
    
      Suivant ce chemin que tu me montrais inconsciemment, j'arrivai devant une porte. Je testai alors toutes les clés avant d'introduire la bonne dans la serrure, et de la tourner, ce qui fit un léger cliqueti. Puis doucement je l'ouvris. Et tu étais là Roy, tu étais là. De dos, en boxer noir, dans tes pensées les yeux rivés vers le ciel, tu ne me vis ni entendis entrer. Je t'entendais maugréer:
-Saleté d'Homonculus!!! Il aurait pu la tuer!! Heureusement que j'ai réussi à m'interposer! Mais pourquoi elle? Pourquoi spécialement elle??
 Souriant dans l'ombre, je m'avançai vers toi et sussurai:
-Parce que je t'aime...
-Que fais-tu là Homonculus?! sursauta-tu, brusquement tiré de ta rêverie.
   -Chut, parle moins fort, te chuchotais-je.
 Mon sourire s'élargit:-Je suis venu te voir et au fait, pour toi c'est Envy.
Tu voulus alors te battre mais je sauta dans ton lit. Sur les nerfs, tu essayas de m'attrapper mais j'étais trop rapide pour toi. Je m'écartai au dernier moment et tu tombas dans ton lit tandis que rapidement je basculai sur toi, saisis tes poignets d'une main et de l'autre avec laquelle je faisais tournoyer autour de mon index les menottes que j'avais prises au gardien, je te menottai au barreaux du lit et fis de toi mon prisonnier.
 
Caressant ton musclé torse d'ivoire, je chantonnai:
 
   -Mustang, aussi imdomptable que ton nom le dit...huuum, on va bien s'amuser!
 
     Je caressai du bout de mes doigts ton torse, avant de les faire descendre le long de ton abdomen et de les introduire dans ton boxer.
 
   -M...Mmais qu... qu'est-ce que que tu... tu fais?! bafouillas-tu choqué et aussi rouge que l'une de tes flammes.
 
  -Qu'est-ce que j'ai l'air de faire?, te sussurai-je amusé, d'un ton mielleux à l'oreille.
 
     Tu tentas vainement de te débattre et voulus hurler mais avant que tu en aies le temps, je glissai ma langue entre tes lèvres et t'embrassai à pleine bouche. Un long baiser ténébreux et passionnel...lorsque je vis que, commençant à manquer d'air, tu cessa de te débattre, j'interrompis le baiser. Faisant glisser ma langue le long de ta gorge jusqu'à ton torse, je me mis à léchouiller tes tétons. Mais tu es si orgeilleux Roy, que tu tentais de masquer le plaisir apparant que tu éprouvais. Plus qu'amusé de ta réaction, je me mis à jouer avec tes testicules. Tu essayais de me résister, de ne pas me donner la satisfaction de te voir jouir, mais la teinte rosée qui s'était emparée de ton teint que je devinais habituellement si blanc, valait le plus beau de tous les cris de victoire. Ainsi, je continua de lécher ton torse, ton ventre en passant muscle par muscle. Ta respiration s'accéléra brusquement, et tu fus rapidement en sueur, tandis que je sentis ton pénis se raidir entre mes doigts. Je le pressai légèrement et tu laissas échapper un gémissement.
   -Gagné!, m'écriai-je 
 
   -Crève sale homoncul.. cul! aAaAaAaH, tentas-tu de me répondre d'une voix aggressive avant de laisser échapper un long gémissement, pendant que j'entamais une lente masturbation.
 
    De ma main libre, je fis glisser ton boxer le long de tes jambes et te le retirai. J'accélérai la masturbation et presqu'immédiatement, tu jouis. Puis léchant ton abdomen, je te caressai de mes lèvres jusqu'à ton bas ventre, pris délicatement l'objet de mes désirs en bouche et entamai une fellation. Malgré ton endurance exeptionnelle, tu ne pus te retenir plus longtemps et te laissa aller au plaisir. Tes gémissements emplirent cette vaste pièce et se firent incessants. Tu éjaculas dans ma bouche et j'enduis deux de mes doigts de ta semence avant d'en avaler le reste. J'introduisis alors mes deux doigts lubrifiés en toi et les remuai. Tu fus d'abord crispé de douleur mais quand tu t'habituas à leur présence, et commenças à éprouver du plaisir, je descendis mon short. Et les yeux équarquillés en voyant mon érection, tu te rendis compte de la réalité de la situation,
   -non! ne fais pas ça!, m'a tu supplié avec une mine dépitée.
  Et moi, le sourire aux lèvres, te pénétrai en prenant bien soin d'enfoncer mon penis le plus profondément possible dans ton anus. Et immédiatement, j'enchainai de violents va-et-viens. Nous gémissions de plaisir tous les deux derrière la porte blindée de cette pièce close. Dans un seul et même cri de jouissance, je me déversai en toi en même temps que tu te libéras sur mon ventre. Assoupi, et sans retirer mon pénis, je m'allongeai sur toi et d'ailleurs, tu n'avais pas mis longtemps avant de t'endormir. Je me relevai tout en me retirant de toi, remis mon short et admira mon oeuvre: toi nu et en sueur après ce qui devait être ton premier ébat homosexuel. J'étais ton amant, tu étais mon fruit interdit. Bien que possédant les clefs de tes menottes, je décidai finalement de te laisser menotté au barreaux du lit, nu, les testicules à l'air libre. Souriant encore une dernière fois dans la pénombre, je repartis aussi dicrètement que j'étais venu.
 
  *soupir*C'était le bon temps et aussi...je ne l'avais dit à personne mais c'était...*rougissant* ma première fois... Si vous saviez ce qu'on peut apprendre en vous espionnant vous autres les humains, vous seriez surpris.

 



Tags : Yaoi, Envy, Lemon, viol, Envy x Roy
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#Posté le jeudi 26 juillet 2012 16:28

Modifié le lundi 06 avril 2015 18:55

Le journal intime de Roy

 
LE JOURNAL INTIME DE ROY
Le journal intime de Roy
           Je me réveille, il est 8h du matin. J'ai un effroyable mal de crâne. C'est surement dû à la mauvaise nuit que je viens de passer. Pourtant, plus d'une semaine a passé depuis ça. Depuis cette nuit: la nuit de l'humiliation.

           Moi, le grand lieutenant de l'état major Roy Mustang, l'inimitable Alchimiste des Flammes, ai été humilié.*yeux brillants* Moi, me faire violer?!... c'était déjà impensable. Mais me faire violer...par... par un homme?!  Non ce n'est pas possible! ça doit être un cauchemar!  Mais le pire dans tout ça...le PIRE du PIRE...*rougissant* c'est que j'ai aimé ça.


         Je me décide enfin à me lever, me doucher et m'habiller. Puis j'arrive au réfectoire et je me retrouve de nouveau confronté aux moqueries de mes coéquipiers.
   -Alors Mustang, on se remet de sa chevauchée romantique?, sourit Scar.
   -T'inquiète pas! On te comprend! c'est vrai que c'est tentant le sex attaché! une petite envie d'exhibition? se moqua Greed.
   -Putain!!J'en peux plus, s'exclama Alfred mort de rire aussi rouge que sa cape, lui...menotté...complêtement nu...les bijoux de famille à l'air libre!!
   -HA ha ha ha , s'esclaffa Riza, N'empêche LE Mustang un homme soumis!! fallait le voir pour le croire!
   -Ah ça va hein!!, s'énerva mustang, FOUTEZ MOI LA PAIX AVEC CA!!
         
                            Et sans même avoir mangé, je m'élançai hors du réfectoire.
 
      Accablé, je n'osai pas revenir avant la pause de midi. Je me dépêchai de manger plus de nourriture qu'il ne m'en fallait habituellement avant que les autres n'arrivent et on ne me vit pas de l'après-midi. Et puis... de toute façon, je n'avais pas la tête à travailler. Je ne rentrai pas pour diner non plus.

          Quand enfin je me décidai à rentrer, il devait être 23h passé. Mais avant d'aller me coucher, je voulus rapidement faire un tour à la salle de conférence, pour me mettre au courant des dernières avancées et d'informations qui avaient été faites en mon absence.
 

       J'entrai alors dans la salle obcure faiblement éclairée par les lanternes de dehors, je commençai mon oeuvre. Mais soudain, j'eus comme une impression de déja vu. Je n'étais plus seul. Et lentement, je fis volte face. Oui, c'était lui, bel et bien lui.
 
-Mais qu'est-ce que tu me veux foutu homonculus?!
   -Chut moins fort, chuchota t'il, pour toi c'est Envy, je te l'ai dit la dernière fois.
   -J'en ai rien à foutre de qui t'es!! Et comment tu fais pour me retrouver ou que je sois?!, l'agressai-je.
   -C'est très simple, ma foi: la chaleur de ton corps.
   -Dis pas n'importe quoi! il y a des centaines de personnes ici! Alors me prends pas pour un con!
   -Mais il s'agit de ta chaleur Roy: elle est si intense qu'elle m'en donne des frissons.

        Et sur ce, tu te jetas sur moi. Je pus t'éviter mais accidentellement, je glissai sur un stylo qui trainait parterre et ma nuque heurta violament le mur. J'étais coincé car je ne pouvais pas utiliser mes flammes sous peine de me faire repérer. Je n'eus même pas le temps de reprendre mes esprits que d'un geste trop rapide, tu eus le temps d'abaisser mon pantalong et par la même occasion mon boxer. Je voulais te mettre un coup de poing au visage, que tu évitai si prestement qu'on entendit même le bruit du vent. Tu étais encore plus rapide.
 
         Sous la lueur cuivrée qui recouvrait le mur, d'un geste sec, tu empoignas ma virilité. Je tentai encore de te repousser mais tu la pressas si fort que j'en eus mal et grimaçai de douleur.
 
-Tu m'as manqué Roy, me murmuras-tu à l'oreille, je ne te laisserai pas gacher nos retrouvailles.

-Tu ne paies rien pour attendre!!!tu vas voir je...
 
 -Oh non, souris-tu, c'est toi qui va voir à quel point je t'aime...
 

       Et de ta main libre, tu plaquas mon poignet contre le mur tandis que mon autre poignet tentait vainement de te repousser. Fichtre, quelle force de monstre tu as. Certes, de la force, j'en ai moi aussi, mais la force d'un être humain normal n'est absolument pas comparable à celle d'un homonculus. Puis tu commença rapidement à me masturber. Et très vite, le plaisir remplaça la douleur. Une agréable sensation de chaleur s'empara de tout mon être et je me sentis rougir. J'étais déjà en érection. A la vue de mon visage, tu souris et accéléras ta masturbation et je jouis dans ta main. Puis, lentement, tu portas tes doigts souillés à ta bouche.

-hum, savoura-tu, ta semence est dé-li-cieuse!! J'aime ta saveur Roy... ton pénis est bien la chose la plus exquise que je n'ai jamais goutée...
 
     Et dès que tu terminas ta phrase, tu te mis à le dévorer avec passion et avidité. Je sentais ta langue qui venait de temps à autre titiller mon gland, avant de redescendre le long de mon pénis lécher et aspirer le reste du sperme qui avait dégouliné. Immédiatement, je gémis sans pouvoir m'arrêter. J'avais l'impression d'être un cornet de glace qu'on se dépêche de manger avant qu'il ne fonde. *rougissant et tremblant* Putain, tu es vraiment trop bon. Ce que tu m'avais déstabilisé ce jour là. Si ça avait continué, il allait encore se passer la même chose que la dernière fois.
 
   -Arrête! Arrête ça maintenant!!, m'énervai-je entre deux gémissements.
 
Tu ne me prêtas même pas attention et continua à me sucer. Tu savais pertinement que même si je refusais de l'admettre, j'aimais ça. La colère et la haine qui me rongeaient firent que je me mis à trembler. Malgré ça, tu continuais ton oeuvre et te mis même à jouer avec mes testicules. Ma respiration s'accéléra et se fit haletante. Moi, humilié de la sorte pour la deuxième fois dans mon propre domaine?! tu allais me le payer!! Et dans un effort surhumain, je te repoussai avec hargne, te renversai et me mis par dessus toi.

-C'est la deuxième fois que tu m'humilies, l'aggressai-je avec un regard noir, et tu vas me le payer!!

 

        Je t'arrachai alors ton short avec rage, t'écartai les cuisses de force et me plaça entre. Tu étais si surpris du retournement de situation que tu étais resté figé de stupeur. Je me positionnai lentement et avec précision, et je pénétrai avec force. Tu laissai échapper un cri rauque mêlant plaisir et douleur. Mais la seule chose qui m'intéressait était de te voir souffrir: je voulais lire la douleur sur ton visage. Je désirais te voir agoniser. Ensuite, la température de mon corps grimpa d'un coup et devint si forte que sans même me retirer de toi, je retirai ma veste et la jetai derrière toi.
 
    Le journal intime de Roy
   -Aiiie ça brûle, agonisas-tu la voix tremblante.

       J'enchainai immédiatement une série de violents va-et viens qui m'arrachait des cris d'extase et t'arrachait râles de douleur. Tes cris m'exitaient tellement que je ne pouvais plus m'arrêter. Ton visage était à présent aussi rouge que je l'avais été la première fois que tu m'as violé. Je me fis tellement violent que des gouttes de sang qui perlaient sur ton anus vinrent éclabousser mon pantalong et une partie de ma chemise.
 
          A ma grande satisfaction, des larmes roulèrent le long de tes joues. Et je devins encore plus violent, tellement violent qu'on entendait même le bruit de ma queue claquer dans tes fesses. Et oui, si tu n'es pas sensible au froid, tu es sensible à de très fortes chaleurs, à savoir la mienne. Tu la voulais nan?! Tu l'as!! Je t'en voulais, te haissais...mais ce que je haïssais le plus, c'est le fait que je te désirais. Sans savoir pourquoi, je te désirais plus que tout au monde. Envy, tu portes bien ton nom. Instinctivement, sans arrêter mes vas-et-viens, je t'embrassai à pleine bouche, à en perdre haleine. Je démarrai ensuite une suite de baisers brulants sur ta gorge. Mais le plus surprenant, malgré tes larmes et tes cris de non consentement, c'est que tu avais l'air d'aimer ça. Tu aimais que je te malmène. *se sent bizarre* nous voici donc un beau duo entre un bisexuel refoulé épris de supériorité et un amour de sadomazo obsédé.
 

      Quand enfin je me décidai à m'arrêter et que je me retirai de toi, plus de deux heures avaient passé. Je me mis debout et resta figé de stupeur: toi, faible, à moitié nu, en sueur, les jambes écartées, l'anus en sang dégoulinant sur le sol, et le ventre et les cuisses recouvertes d'éclaboussures de sang. Je regardai alors mes vêtements et je vis qu'ils étaient dans le même état. Puis je regardai le sol, qui bien évidement, n'avait pas été épargné.
 

                          Puis, j'entendis des pas dans le couloir et aussi quelques mots tels que:
 
-...ronde...vérification...salle de conférences...?!
 

Salle de conférence?! C'est ici même!! j'étais foutu et je ne savais pas quoi faire. surtout avec toi faible sur les bras: tu n'étais même plus en état de te redresser. Il fallait faire vite, les bruits de pas se rapprochaient. J'épongeai avec ma veste le plus vite possible les traces de sang. Après l'avoir fait, je la revêtis et te remit ton short. Nous ne pouvions en aucun cas sortir par la porte donc je cherchai des yeux une autre sortie. Les pas se rapprochèrent jusqu'à ce que la porte s'ouvre...
 
Le coéquipier s'eclama à son confrère:

    -Rien à signaler!!

    -Pourtant il me semblait avoir entendu du bruit!

    -T as dû te tromper! c'est peut-être le bruit de la fenêtre cognant contre le mur car il semble que quelqu'un a oublié de a fermer.

           J'avais attéri dans les buissons, avant de m'enfuir avec toi dans mes bras. Je ne pouvais pas te mettre dehors à demi-conscient car si on te capturait, tu risquais de tout raconter. Et je ne pouvais pas me permettre non plus de te laisser dans un coin de la forteresse étant donné que chaque parcelle en était fouillée sauf...oh non... je n'avais plus le choix. Je devais te cacher dans ma chambre.
 

Je me faufilai tant bien que mal entre les lampes torches de mes semblables et celles de la forteresse, puis enfin, j'y entrai et fermai la porte à double tour. Je me laissa glisser sur le sol, dos à la porte, toujours avec toi dans mes bras. J'ai cru que je n'allais jamais y arriver. Exténué de toutes ces activités, je t'allongea du coté du lit qui faisait face à la porte et je m'allongeai face  à toi, de l'autre coté en face de la fenêtre.
 
         Puis, un peu plus tard dans la nuit, je ressentis une douce fraicheur sur ma joue: ta paume glaciale. Soudainement, tu me dis une phrase que je n'ai jamais oublié. Elle m'avait si déconcerté que je ne savais pas quoi te dire, ni quoi faire. Quand tu vis l'état de profonde gêne dans laquelle tu m'avais fait sombrer, comme à ton habitude, tu te contentas de me sourire gentiment et immédiatement, tu t'étais rendormi. Beaucoup plus tard, je sentis tes douces lèvres froides se poser sur les miennes et des bruits de pas s'éloignant de moi. Tu étais parti. Je me retourna vers la fenêtre, il faisait à peine jour. Je regardai le réveil posé sur mon chevet: 6h30.


Tags : Yaoi, Roy, Lemon, viol, Envy x Roy
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#Posté le vendredi 31 août 2012 10:58

Modifié le lundi 06 avril 2015 19:37

JE RECOMMENCERAI

 
 
JE RECOMMENCERAI

 
          Karui avança prudemment dans le salon. Elle venait de sortir de la douche et avait eu tout juste le temps d'enfiler un string qu'elle avait entendu un bruit suspect dans sa maison. Elle était une ninja d'élite après tout, bon nombre de gens en voulaient à sa vie ces temps-ci. Sa sacoche de kunai était à l'autre bout du salon. Mais elle n'eût même pas le temps de s'en approcher qu'on la saisit par derrière. Elle sentit quelque chose de long et froid sous sa gorge: un kunai.

-Reste tranquille ou ça va mal se passer.

Elle avait déjà entendu cette voix quelque part, ce timbre lui semblait beaucoup trop familier.

-Tiens donc, sinon quoi? Tu en veux à ma vie toi aussi?, nargua t'elle.
-hahahahaha...
-Puis-je au moins savoir pour quelle raison?
-Ta vie ne m'intéresse guère. Je ne suis pas là pour ça, il y a quelque chose que je veux et que tu as. Et tu vas me le donner sans résistance.
-Ooooh, quoi donc?
-Tu ne devines pas?, fit la voix masculine, soufflant à son oreille.
 
                                            Elle équarquilla les yeux. Elle l'avait reconnu.

-Uchiwa...
-Et ben alors? On m'appelle pas par mon prénom?
-Tsss connard!
-Oh laaaa, appuya t'il son kunai contre la gorge de Karui, surveille ton langage.

Son timbre se fit plus menaçant, glacial.


-Je n'en veux pas à ta vie, mais à ton corps. Et tu vas me le donner.

Le silence se fit pesant dans la pièce. Karui évalua rapidement mentalement la situation: il faisait nuit noire, son appartement était à l'écart de la ville, elle était seule, sans possibilité de renfort, presque nue et sans défense. Et même si elle avait une arme, il était beaucoup trop fort pour elle. Ou plus simplement: elle était une femme et lui un homme. Ce n'était vraiment pas sa soirée. Elle essaya de gagner du temps.

-Alors comme ça le Grand Uchiwa Tombeur de ses mesdames s'abaisserait à violer des jeunes demoiselles, maintenant?
-Qui parle d'un viol?, sourit-il avant de poser un bisou léger à la base de sa gorge, Puisque tu vas me le donner de ton plein gré?
-Le kunai sous la gorge n'est pas vraiment dans la catégorie de ce que j'appelle "plein gré".
-Hahahaha toujours aussi perspicace ma petite Karui.
-ça n'a rien de perspicace, c'est juste réaliste. Je ne vois vraiment pas pourquoi tu t'abaisserais à ce genre d'action indigne de ton rang.
-Qui parle de rang? Ce n'est que de la baise, voyons! Tu es bonne, ça fait un moment que j'ai envie de te sauter.
-C'est cela oui. Tu aurais au moins pu essayer de me séduire.
-Pour quoi faire? Tu es bien trop intelligente pour ça. C'était facile avec les filles de Konoha, mais avec toi...
-Avec moi?, continua Karui, ses mains se faisant baladeuses sur le pantalon de Sasuke.
-Avec toi ce ne serait d'aucune utilité. Je me fatiguerais pour rien, n'est-ce pas? Et d'ailleurs quoi que je dise tu ne te laisserais pas faire, n'est-ce pas?

Avant d'empoigner brutalement le poignet de Karui, dont la main se trouvait à moins d'un centimètre du kunai qu'il avait retenu derrière sa ceinture.
-...Merde.
-C'était bien essayé.

Il saisit les seins de Karui avec violence, la concernée grimaçant de douleur, puis commença à les malaxer durement.
-Tu as mal, n'est-ce pas? Je n'ai pas envie de te faire mal. Mais si tu me résistes, je serai contraint d'utiliser la violence.
 
Karui avait bien trop mal pour penser à un plan. Quand bien même elle aurait voulu résister, il serrait ses seins trop fort. Elle en avait les larmes qui lui montaient au yeux.
-Me suis-je bien fait comprendre?

Devant le silence de Karui, sa voix claqua dans le calme:

-Bien.
 
Il l'entraîna par le sein, toujours derrière son dos, à la première salle qu'il vit sans réfléchir: c'était la salle de bain. Il n'avait déjà plus de t-shirt. Il relacha ensuite progressivement la pression sur le sein de Karui, qui était trop occuppée à reprendre de l'air pour essayer d'évacuer la douleur pour dire quoi que ce soit. Puis il la retourna face à lui avant de la soulever pour la faire asseoire sur l'évier. Son visage éclairé par la lune était rouge et empli de douleur, avec de la bave agglutinée à ses lèvres entrouvertes. Il eût alors un rictus amusé en la voyant dans cet état.

-Tu vois quand tu veux, sourit-il, tu sais ce qui t'attends si tu me résistes. En revanche, je pourrais être clément envers toi.

L'Uchiwa empoigna son visage d'une main, la regardant de ses pupilles sombres droit dans ses prunelles dorées pour conclure:
-En un mot: Sois mignonne et je te ferai Jouir. Sois conne et je vais te Détruire.

Elle équarquilla les yeux. Elle se rappella d'une phrase qu'il lui avait dite du temps où elle était à sa recherche: un Uchiwa ne plaisante jamais.

Sur ce, Sasuke se baissa et saisit les seins endoloris de la jeune rousse, et commença alors à lui léchouiller délicatement les mamelons, puis les tétons, observant les réactions sur le visage de la belle, avant d'y aller plus franchement. Les tétons se durcirent sous le traitement de faveur qui leur était infligé, la chaleur commençant à envahir le corps de la jeune demoiselle. Sasuke s'y prenait très bien. Elle faillit laisser échapper un gémissement lorsqu'elle se mordit la lèvre. Grossière erreur. Sasuke n'ayant pas apprécié le geste, lui claqua la fesse droite. Ce qui la fit sursauter.

-Déserre les dents. Je veux que tu me montres ton plaisir. Encore une tentative de dissimulation de ce genre...

Il laissa sa phrase en suspens avant de recommencer son traitement initial. La belle séquestrée essaya tout de même par réflexe de retenir sa respiration avant de se cambrer et de gémir.
-HaAaAAaaa...Ah!
-Bieeen, s'exclama t-il d'un ton enjoué, on peut passer à la suite.

Ses doigts inicièrent un déplacement circulaire par dessus le string de la chocolatée, titillant une fois sur trois son clitoris.
-HAAAAAA!!!

Elle commençait décidément à avoir trop chaud. Sasuke arrêta brusquement ses mouvements.
-Descends de l'évier.

Constatant qu'elle ne s'activait pas, il la tira par le bras, ce qui la laissa en déséquilibre à deux doigts de tomber, avant de la faire mettre à genoux.
-Et maintenant tu vas me sucer.

La réticence se lisait dans ses yeux. Il l'empoigna par les cheveux.

-Suce-moi. Vite.

Elle fût obligée de défaire la ceinture/corde violette de son pantalon, qui s'affaissa, et d'abaisser le devant du boxer blanc du jeune homme et saisir l'objet de son obligence. Elle sortit la langue et maladroitement, commença à lécher le gland. Elle n'avait jamais fait ça de toute sa vie. A vrai dire, elle avait toujours préféré les filles. Quoi qu'elle n'avait jamais rien essayé avec un garçon. Se rappelant vaguement de certains conseils qu'elle avait entendu dans des conversations de-ci, de-là, elle entreprit de balader sa langue sur toute la longueur de Sasuke. Le pénis se mit à durcir assez rapidement dans ses mains. Elle ne savait pas si c'était parce qu'elle n'avait jamais vu de pénis d'aussi près, mais il était monté comme un cheval. Ne sachant que faire, elle continua ce traitement un long moment. Son oppresseur, accablé de la lenteur de l'action et du fait que la suite ne vienne pas, décida d'accélérer les choses. Il ressera sa prise dans les cheveux, enfournant son engin jusqu'à la garde dans la bouche de Karui, qui se retrouva brutalement privée de respiration. Se foutant royalement de ce qu'elle pouvait ressentir, il lui baisa la bouche à la bouche à répétition tout en maintenant sa prise. Des larmes firent leur apparition. Elle ne s'était jamais sentie aussi mal de sa vie. Elle avait la pire nausée de sa vie et une crise d'asphyxie en même temps. Ses larmes coulaient de plus belle. Qu'est-ce qui pouvait être pire? Comme pour répondre à sa question, elle senti l'engin vibrer dans sa gorge, avant qu'il ne se retire seulement de moitié et...C'était blanchâtre et gluant. Du sperme. Elle avait bel et bien du sperme dans la bouche. Horrifiée, elle eût envie de vomir et voulu recracher le contenu. Mais ayant prédit son intention, il lui releva la machoire, la forçant ainsi à avaler. Elle avala de travers et toussa les mains contre sa gorge. Elle leva les yeux vers son visage. Il souriait. Cet enfoiré lui souriait. Alors qu'il la mettait debout, elle lui colla une droite magestrale. Ce qui le mit en rogne: il la gifla, lui claqua un sein avant de la retourner face à l'évier et de lui mettre une fessée. Elle cria de douleur.

-Oh Misère, mon si beau visage. Comment as-tu pu te le permettre? La seule chose qui me retient de ne pas détruire le tien est que je n'ai pas envie d'avoir à baiser un monstre ce soir.
-Et...et toi, suffoca t-elle le visage au dessus de l'évier, co...comment as-tu o-osé...tu...tu n'avais pas le droit...ça...ne t-t'appartenait pas!
-Qu'est-ce qui ne m'appartenait pas? J'ai tous les droits. Ce soir tu m'appartiens et je te traiterai comme bon me semble. Tu peux toujours me résister, ça me fera de l'animation...Mais arrivera ce qui arrivera.

Il se baissa pour ramasser son kunai qui trainait dans un coin de la pièce à proximité de son pantalong sur le sol, puis il la retourna de nouveau, lui colla l'outil froid entre les seins avant, un sein dans chaque main, de les refermer dessus. Il chuchotta ensuite à son oreille alors que les larmes de la jeune fille reprenaient de plus belle:

-Tu le sens? Tu le sens hmm? Je ne sais pas ce qui me retient de t'entailler les seins. Il suffirait que j'appuie un poil trop fort pour qu'ils ne soient tranchés. Je pourrais le faire..Mais je ne le ferai pas. Et tu sais pourquoi? Parce que je suis bon, et que j'ai encore besoin de toi.
 
Il glissa son nez de son oreille, du long de sa gorge, de son décolleté pour enfin finir par récupérer le kunai avec ses dents. Elle évitait de regarder son visage. Il eût envie de la forcer à le faire puis se rétracta au dernier moment. A quoi bon? Elle le reverrait dans moins de temps qu'il ne faut pour le dire. Il l'attrappa par l'avant-bras fermement se moquant bien qu'elle titube ou qu'elle trébuche pour l'entrainer dans la pièce qui suivait. Bingo. C'était sa chambre.

Il la balança sans ménagement sur le lit, dans lequel elle attérit sur le dos. Il se positionna alors en position de dominant par dessus elle. Elle tremblait de tous ses membres et avait les yeux fermés.
-Ouvre les yeux. ... REGARDE-MOI!!!

Ce qu'elle fit précipitamment.

-Regarde-moi bien. Regarde bien mon visage. Regarde bien mes yeux. La façon dont ils luisent. Il est incroyablement beau non? Tu as de la chance. C'est ce visage que j'aurai quand je vais te monter.

Il lui enleva son bandeau frontal puis l'embrassa avec passion. Il prenait plaisir à jouer avec sa langue non-consentante et mélanger sa salive avec la sienne de façon à ce que ses papilles s'imprègnent bien de son goût. Il s'amusa un moment avec ses lèvres avant de les lâcher pour poser un bisou sur sa joue et de faire de même avec sa machoire, sa gorge, le côté de son sein, son estomac, ses côtes, sa hanche, son nombril et enfin en venir là où il voulait en venir. Il lui écarta de manière douce grandement les jambes. Il la tira délicatement vers le bord du lit avant de s'agenouiller et de se positionner entre. Il passa son doigt sous le string, le souleva et observa avec un regard pervers:
-Tu avais bien mouillé tout à l'heure, affirma t-il avec un ton frivole, épilation clean, tu as une très jolie chatte. Je vais me régaler.

Passant sa langue sur ses lèvres, il lacha la ficelle qui reprit sa position initiale.

-Je vais quand-même te lubrifier, pour que ça glisse mieux. Ce sera moins douloureux. Enfin, pour moi ça s'entend. Je n'ai pas envie de finir avec un pénis tout frippé à cause de toi. Tu as été vilaine mais la fellation de tout à l'heure m'a donnée du plaisir. Alors je vais t'en donner.
 
Sur ces bonnes paroles, il entreprit son léchage à travers le string. Elle eût un mouvement de recul malgré elle. Grossière erreur. Il lui claqua la fesse et la ramena à lui. Elle resta tranquille. Il reprit. Le corps humain est le pire des traîtres. Elle avait beau être totalement terrorisée par l'Uchiwa, le simple fait que sa langue frétille entre ses jambes la faisaient mouiller. C'était mécanique, et elle ne pouvait rien faire pour arrêter l'enrouage. Elle agitait la tête et fermait les yeux en priant pour que quand elle les rouvre, tout ceci ne soit qu'un rêve.

-Non mais je rêve, tu fermes les yeux en essayant de me résister alors que tu es entrain de recevoir LE meilleur cunni de ta vie. En plus donné par Sasuke Uchiwa en personne. Han, ma parole...

...Puis il continua ce qu'il était entrain de faire. Il la dévorait comme s'il avait entre les mains la meilleure des confiseries. Le plaisir devenait insoutenable. Il s'amusait avec les lèvres en alternant les moments d'aspiration et de dévorage du clitoris. Il fit rentrer sa langue dans la fente et s'amusa à la faire tourner à l'intérieur d'elle. Elle se cambra sous le plaisir. Les gémissements jaillisaient de sa gorge comme des geysers: puissants et incontrolables. Et d'un coup, il ressortit et accéléra le rythme sur son point sensible et un court moment après, elle jouit. Elle ne contrôlait plus sa respiration et tous ses chakras étaient en ébullition.

Sasuke se releva et retira son boxer. C'était l'heure de la phase finale. Il fit ensuite glisser le string de la belle à la peau d'ébène le long de ses jambes et se plaça au dessus d'elle. Il s'apprêtait à la pénétrer en se masturbant lascivement quand soudain, il ressentit une sensation désagréable traverser tout son corps...une décharge électrique. Cette salope lui avait filé une décharge électrique. A lui. Elle avait dû faire ça quand il ne regardait pas ses mains. La décharge était assez puissante pour le mettre hors-circuit pendant 3 minutes. Mais trois minutes c'était bien assez pour un ninja expérimenté, encore plus dans son cas étant ninja d'élite et détentrice du chakra de type foudre. Surtout qu'il lui avait fallu moins de 20 secondes pour exécuter une technique de téléportation. Ses iris avaient adopté le plus pur des rouge sang. Foutue. Elle allait le lui payer.
 

A 100 kilomètres de là, Karui courait nue dans la nature. Elle était plongée dans le plus profond des désespoirs. Il fallait qu'elle atteingne la ville et vite! Il lui restait tout juste assez de chakra pour une 2ème téléportation. Elle réunit toutes ses forces et la fit. Elle attérit dans la ville qui était presque déserte en cette nuit. Omoi. Il fallait qu'elle le trouve...Là-bas!!! Il était dans son champ de vision! Elle fit une accélaration brève et allait agripper son t-shirt dans 5, 4, 3, 1... Omoi se retourna, ayant senti quelque chose mais ne vit personne.



Elle avait été happée par un vent et s'était retrouvée au centre de son salon.

Sasuke, dans la pénombre, à l'autre bout du salon en face d'elle se tenait raide, nu, ses iris rouge sang braqués sur elle. Son visage s'était emprunt d'animosité: il était désormais stoïque, sans plus aucune émotion. Il avait désormais tout d'un vampire tueur en série. Elle en eût des frissons dans le dos. Elle préférait mourir que de se laisser violer par lui. Par chance, elle se trouvait à coté de la sacoche d'armes: elle bondit vivement, empoigna son kunai et s'égorgea...du moins, c'est ce qu'elle aurait voulu faire, si Sasuke qui était à l'autre bout du salon n'était pas en ce moment même en face d'elle retenant son poignet in extremis. Sa poigne était souple, mais ferme. Il ressera sa prise, ce qui la forca à relacher son kunai et il la lacha. Elle ressentit alors quelque chose de beaucoup plus profond que la peur: la TERREUR. Elle recula jusqu'à en heurter le mur de son salon. Sasuke lui, la fixait sans ciller. C'était fini, elle ne pouvait plus fuir. Il lui restait à peine assez de chakra pour vivre. Il marcha droit vers elle, de sa démarche féline intimidante. Il était passé d'homme à prédateur. Et tandis qu'elle se plaquait contre le mur comme un dernier recours pour éviter le contact avec lui, il se colla contre elle. Et en caressant ses hanches en passant par ses côtes et ses aiselles, il releva ses bras au de sa tête, retenant les 2 poignets à une main. Elle tremblait en silence, les yeux perdus dans le vague. Il colla sa bouche sa bouche contre son oreille pendant qu'une main se baladait sur son corps.

-Alors comme ça on essaie de me fuir? Des centaines de demoiselles rêvent d'être à ta place en ce moment. Non seulement tu me frappes ensuite tu m'électrises et EN PLUS tu essayes de te suicider? Mauvaise pioche, je ne suis pas nécrophile. C'est pas bien grave. Hmmm? Allons, ne fais pas cette tête là, c'est toi qui l'as voulu. Tu vas seulement recevoir la punition que tu mérites.

Il l'embrassa à pleine bouche, d'un long baiser torride pour la priver d'oxygène, pendant que ses mains de baladaient sur ses fesses, ses hanches, avant de s'arrêter à ses seins et de les malaxer délicatement. Il s'abaissa et lui aspira tour à tour les tétons, les mouillant généreusement, provoquant des ondes de plaisir chez la jeune fille. Et tout d'un coup, il les électrisa du bout des doigts. Il poursuivit se manège en laissant des empreintes baveuses sur son ventre, ses cuisses, ses aisselles et ses bras qu'il électrisait au fur et à mesure, des décharges petites, mais assez puissantes pour provoquer une convulsion à chaque touche. Puis il la retourna pour mieux la plaquer contre le mur et se coller dans son dos. Les bras toujours en hauteur, sa poitrine étant écrasée contre le mur, la respiration de Karui était irrégulière et elle avait de plus en plus de mal à reprendre sa respiration. Elle sentit son membre encore bien dressé entre ses cuisses. Il se frottait sensuellement à elle, sa peau diaphane contre la peau d'ébène, la fit se cambrer légèrement pour qu'il puisse mieux se frotter à elle. Il se redressa légèrement pour permettre à la poitrine de décoller du mur afin de pouvoir jouer avec d'une main, pendant que l'autre descendait lentement aller taquiner son clitoris. Il embrassa en mordillant la peau de sa nuque, léchouillant de temps à autre le lobe de son oreille. Soudain, sans prévenir il se décolla d'elle et s'abaissa, saisissant fermement des hanches et introduisit sa langue dans son antre... Anale. Sous le coup de la surprise, elle équarquilla les yeux pendant que le prédateur remuait sa langue en elle. Guettant sa réaction, elle savait que si elle essayait de se retenir de gémir, il lui ferait payer encore plus cher. Un coup de langue bien placé la fit sursauter.
 
-AaAaAaAaAh! Ha! HaaAAAA!!
 
Son antre était maintenant dégoulinante de bave, qui s'écoulait entre ses cuisses. Satisfait, il la saisit par les cheveux et l'entraina de nouveau vers la chambre avant de la rebalancer dans le lit, cette fois-ci à plat ventre. Ne lui laissant même pas le temps de comprendre ce qui lui arrivait, il plaqua sa tête contre le matelas, releva brusquement les hanches de Karui et la pénétra d'un coup sec.

-AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH!!!, hurla t-elle.
-Je savais que ça glisserait mieux.

Sans aucune préparation. Elle eût l'impression de s'être fait enfoncer un rouleau de techniques interdites dans le cul, littéralement de s'être fait déchirer en deux. Sans plus de cérémonie, il bloqua ses hanches entre ses mains, et se retira pour s'enfoncer sauvagement encore plus profondément en elle. La douleur était atroce. Elle s'était même mise à le supplier d'arrêter inconsciemment que ça n'avait rien changé. Ainsi, malgré ses hurlements, ses supplications et ses pleurs, il la pilonna sans pitié pendant plus d'une heure. En plus de ça, comme si la douleur n'était pas assez suffisante, il lui mettait entre temps des fessées électrifiées, la faisant se contracter et reserrer ses parois internes, ce qui augmentait le plaisir de Sasuke qui s'excitait encore plus. Il finit longtemps après par jouir salement en en elle. Puis, il s'était retiré, laissant les hanches s'écrouler sur le lit. Dans un mouvement de repli instinctif, elle se roula en boule sur le côté, repliant ses bras contre son corps.
 
~



Son violeur lui, alla à la salle de bain se désaltérer et se rincer le visage. Un rituel qu'il éxécutait à chaque fois qu'il finissait de faire l'amour. Il s'adossa contre le mur et respira un bon, avant de se reposer. Quand il se décida enfin à bouger et revint à la chambre, se tenant dans l'encadrement de la porte, il constata presque avec étonnement qu'elle n'avait pas bougé. Quoi de plus normal après ce qu'il venait de lui faire subir?
 
 ~
Il avança calmement vers elle, et elle sentit le lit s'affaisser dans son dos. Il s'était assis. D'un geste doux, il toucha son épaule pour la faire basculer sur le dos. Les cheveux trempés de sueur, brillants et s'étant bouclés, certaines mèches étant collées sur son front, ses joues et même ses lèvres: elle était magnifique. Il regarda dans ses yeux entrouverts, vide d'expression. Elle se sentait sale et humiliée. Il se sentit durcir à nouveau: il avait encore envie d'elle. Il se plaça par dessus elle en domination, et sussurra:

-Je t'avais pourtant dit de ne pas me résister. Je t'avais prévenu. Tu sais bien que je n'avais pas envie de te faire de mal. Et maintenant regarde dans quel état tu te trouves...

Elle resta silencieuse un moment, laissant son mal-être se répandre dans l'atmosphère de la pièce. Etant à cours de larmes, elle murmura de sa voix faible et enrouée:
-...Tue-moi...
-Pourquoi diable aurais-je envie de faire disparaître une si merveilleuse créature? Je comptais m'arrêter là ce soir, mais...tu es si alléchante que j'en ai de nouveau l'eau à la bouche. Et puis je ne voudrais pas que tu me fasses courir une réputation de mauvais coup.
-...Tue-moi...Je t'en priiie..., sa voix exprimant les larmes qu'elle ne pouvait plus manifester.
 
Pour toute réponse, il se pencha et s'empara de ses lèvres, la savourant à pleine bouche. Il fit en même temps parcourir par l'intermédiaire de sa peau une décharge douce de chakra à travers celle de Karui. Cela avait pour effet d'être aphrodisiaque. Il l'avait découvert en sautant Sakura, il fallait bien qu'elle lui serve un jour. Elle commença à avoir chaud pendant qu'il s'attaquait aux parties érogènes de son corps. Pendant qu'il la léchait d'un peu partout, sa main s'actionnait sur le clitoris de la belle qui n'avait même plus assez de force pour se retenir. Elle était épuisée, et puis elle avait tellement chaud. Au point où elle en était, qu'est-ce que ça pouvait lui faire? Elle se laissa aller au plaisir.

-Tu es bien plus docile dis-donc, j'aurais dû commencer par ça avant, sourit-il.

Il s'attaqua encore à ses seins avant de descendre à nouveau dévorer avidement son coquillage. Sauf que cette fois-ci, il s'y attarda beaucoup plus que prévu, tout en jouant avec un sein, pour qu'elle y prenne véritablement du plaisir. Elle jouit entre ses lèvres entrouvertes.

-Merci pour le repas.

Il remonta sur le lit et passa sa main sous la joue de la jeune fille l'obligeant ainsi à le regarder dans les yeux, et il s'introduisit délicatement en elle. Il s'allongea de tout son long sur elle, en entamant un doux vas-et-viens. C'était un missionnaire tout ce qu'il y a de plus simple, peau contre peau. Il ne quitta pas son visage des yeux un seul instant, son regard étant comme happé par le sien. Ne tenant plus, son haleine se mélangeait à la sienne, il l'embrassa encore, mais d'un baiser tendre et sensuel. Le temps avait arrêté de marcher, laissant libre cours à sa passion. C'était exquis, c'était divin. Après une étreinte interminable, ils jouirent ensemble. Il retira et se plaça derrière elle, en position cuillère. Elle avait peur de lui c'était certain, elle en tremblait encore. Il ne restait après un coup d'un soir. Mais, il poussa le sadisme encore plus loin: se collant à elle, il lui susurra à l'oreille d'un ton mielleux:

-Chhhhhh...Dors. Dors ma petite Karui.

Il savait pertinemment que vu la façon dont elle était terifiée, il serait diffile pour elle de fermer l'oeil. Pourtant, elle était si exténuée que le sommeil finit par l'écraser. Ce n'était pas plus mal, elle était pressée que le matin arrive, car le matin, il ne serait plus là. Sur cette dernière pensée, elle sombra dans un profond sommeil.

~
          Au petit matin, Sasuke fut le premier à ouvrir les yeux. Il était encore là. Il n'était jamais au grand JAMAIS resté dormir après le sexe. Et pourtant il était encore là. Il se leva silencieusement, chercha ses affaires qu'il remit avant de sortir par la baie vitrée qui donnait sur le balcon. Le temps était clair, un vent frais soufflait dans ses cheveux. Cette fois-ce, il s'était attaqué à quelque chose de plus gros que lui. Quelque chose d'incontrolable, un désir qu'il ne pouvait soumettre. La règle d'Or est de ne jamais taper 2 fois dans le même coup. Mais avec elle, il recommencerait, c'est certain.
Tags : viol, Sasuke x Karui, Lemon
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#Posté le lundi 06 avril 2015 15:01

Modifié le vendredi 17 avril 2015 15:29

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